Coupe du monde de la FIFA, UEFA Champions League, Wimbledon, Tour de France: 2018 fut une année riche en événements sportifs. De nouveaux talents et vainqueurs se sont révélés au niveau international mais également national. Le Mercato de janvier qui vient de se clôturer a annoncé de nombreux transferts internationaux dont certains furent peu attendus – y compris par les athlètes!

Avec un peu de recul, les athlètes professionnels ont tous un élément en commun: leur préparation - entraînements, tactiques, déplacements, alimentation, l’évolution de leur carrière à l’international. Tous les aspects de la vie d’un athlète imposent une préparation minutieuse.

Être prêt à gagner

La préparation est donc un élément fondamental pour un athlète, y compris sur le plan patrimonial. Au début de leurs carrières, de nombreux sportifs se concentrent sur un seul objectif: gagner et réussir dans leur discipline. Plus ils savourent leurs victoires, plus ils doivent chercher à préparer leur avenir. Des études récentes ont par exemple montré que 78% des joueurs de la NFL risquent la faillite personnelle dans les deux ans qui suivent leur retraite sportive, et que 60% des joueurs de la NBA se retrouvent après cinq ans dans une situation semblable. Le constat dans le foot européen n’est pas fondamentalement différent. Ces statistiques font froid dans le dos, d’autant que ces athlètes figurent parmi les mieux rémunérés au monde.

Avec une dizaine d’années en moyenne, les stars du sport ont des carrières courtes et sont donc plus enclines à se concentrer sur leurs objectifs à court terme. La concentration permanente sur le jeu leur laisse de surcroît généralement peu de temps pour leur éducation financière. Une carrière courte signifie également que la période pour se constituer un patrimoine est réduite. Il est donc primordial pour les athlètes internationaux de s’entourer de bons conseillers. Intègres et motivés par les intérêts personnels des athlètes, ils seront capables de les aider à planifier à long terme, au-delà de la première carrière dans le sport.

Des sportifs de haut niveau, dont particulièrement ceux pratiquant des sports d’équipe, changent souvent de pays de résidence au gré de leurs contrats. Le Mercato de janvier montre à nouveau que ces transferts sont souvent transfrontaliers et s’opèrent vite. En pratique, les sportifs ne disposent régulièrement que de quelques jours ouvrables pour transférer leurs résidences et accomplir les formalités administratives et déclaratives nécessaires au niveau du ou des pays de sortie et de destination. Comptes bancaires, portefeuilles titres liquides, holdings immobilières à vocation commerciale, investissements en capital-risque, etc.: ils souhaitent également laisser le moins de traces administratives derrière eux dans le (ou les) pays qu’ils quittent. Pour simplifier leurs relocations, ils doivent donc disposer de solutions patrimoniales solides sachant aisément s’adapter aux cadres règlementaires, fiscaux et civils des pays de destination, tout en déférant ou optimisant au maximum les frottements fiscaux au niveau du pays qu’ils quittent voire, pour certains, leur pays dont ils sont ressortissants nationaux. Les athlètes internationaux doivent donc trouver des réponses simples à leur style de vie international et leurs fortunes multijuridictionnelles complexes.

Construire son futur grâce à l’assurance-vie

L’assurance-vie en unités de compte répond précisément aux besoins des athlètes professionnels. En complément de ses avantages traditionnels, l’assurance-vie en unités de compte s’adapte en effet aisément à un style de vie international, permet des versements complémentaires pour envisager un avenir financier serein à l’issue de la première carrière dans le sport et de protéger, préserver et transmettre une fortune à long terme.

Elle permet, de plus, d’opter pour des stratégies d’investissement flexibles et de garder, grâce au réseau partenarial étendu de notre maison, une relation avec le family office, gérant ou banquier de prédilection. L’athlète garde finalement un accès permanent et flexible aux avoirs sous-jacents à son ou ses contrats d’assurance-vie, lui permettant par exemple de subvenir à des dépenses imprévues motivées par des soins de santé, de contribuer à une cause philanthropique ou de simplement profiter des agréments de la vie.