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La victoire du Bayern Munich en finale de la Ligue des Champions a clôturé une saison footballistique très particulière, fortement marquée par la crise du Covid-19. S’en suit un mercato encore plus particulier, avec un surprenant protagoniste, Lionel Messi.

En conflit ouvert avec le management de son club formateur, l’emblématique joueur argentin du FC Barcelone, récompensé à six reprises par le Ballon d’Or, a décidé de claquer la porte. Plusieurs candidats, dont Manchester City, se sont manifestés pour accueillir l’un des meilleurs joueurs de l’histoire, contre un gros, un très gros chèque. Côté Diables Rouges, deux mouvements ont déjà été actés et ce ne sont sans doute pas les derniers : Thomas Meunier a déménagé à Dortmund et Timothy Castagne à Leicester. Même si l’info belge numéro 1 de ce dernier mois reste l’arrêt de la carrière de joueur de Vincent Kompany.

Bien gérer sa fortune pour éviter l’infortune

« La vie du sportif de haut niveau est entièrement centrée sur le gain de trophées, et trop peu sur l’usage de leurs gains. La tactique de jeu doit cohabiter avec la tactique patrimoniale. Or les sportifs très fortunés quelquefois mal entourés en termes de gestion patrimoniale, connaissent beaucoup d’infortunes à la fin de leur carrière par manque de conseils » déclare Nicolas Demarest, Head of BeLux chez Lombard International Assurance. Des études récentes (voir tableau ci-dessous) ont par exemple montré que 78 % des joueurs de la NFL risquent la faillite personnelle dans les deux ans qui suivent leur retraite sportive, et que 60 % des joueurs de la NBA se retrouvent, après cinq ans, dans une situation semblable. Le constat dans le foot européen n’est pas fondamentalement différent. Ces statistiques font froid dans le dos, d’autant que ces athlètes figurent parmi les mieux rémunérés au monde. Avec une dizaine d’années en moyenne, les stars du sport ont des carrières courtes et sont donc plus enclines à se concentrer sur leurs objectifs à court terme. Leurs objectifs patrimoniaux sont quant à eux sur le long terme.

Nécessité de gérer un patrimoine multi juridictionnel vite fait bien fait

Le mercato est très souvent synonyme de transferts transfrontaliers qui s’opèrent rapidement. En pratique, les sportifs ne disposent régulièrement que de quelques jours ouvrables pour transférer leurs résidences et accomplir les formalités administratives et déclaratives nécessaires au niveau du ou des pays de sortie et de destination. Comptes bancaires, portefeuilles titres liquides, holdings immobilières à vocation commerciale, investissements en capital-risque, etc… Ils souhaitent également laisser le moins de traces administratives derrière eux dans le (ou les) pays qu’ils quittent. Pour simplifier leurs relocations, ces sportifs de haut niveau doivent donc disposer de solutions patrimoniales solides sachant aisément s’adapter aux cadres règlementaires, fiscaux et civils des pays de destination, tout en déférant ou optimisant, au maximum, les frottements fiscaux au niveau du pays qu’ils quittent voire, pour certains, leur pays dont ils sont ressortissants nationaux. Les athlètes internationaux doivent donc trouver des réponses simples à leur style de vie international et leurs fortunes multi juridictionnelles complexes.

Pour simplifier son mercato, investir dans l’assurance vie

L’assurance vie en unités de compte (Branche 23 Fonds Dédié) répond précisément aux besoins des athlètes professionnels. En complément de ses avantages traditionnels, l’assurance vie en unités de compte s’adapte en effet aisément à un style de vie international, permet des versements complémentaires pour envisager un avenir financier serein à l’issue de la première carrière dans le sport et de protéger, préserver et transmettre une fortune à long terme.

Elle permet, de plus, d’opter pour des stratégies d’investissement flexibles et de garder, grâce au réseau partenarial étendu de notre maison, une relation avec le family office, gérant ou banquier de prédilection. L’athlète garde finalement un accès permanent et flexible aux avoirs sous-jacents à son ou ses contrats d’assurance-vie, lui permettant par exemple de subvenir à des dépenses imprévues motivées par des soins de santé, de contribuer à une cause philanthropique ou de simplement profiter des agréments de la vie.